Le rappoooooort !

Disons que je suis plutôt enthousiaste. Satisfaite. Soulagée. Le rapport de stage siège fièrement sur le dessus de ma valise, sa reliure lui va parfaitement au teint, et sa densité pourrait faire rougir du tungstène. 
Enfin pas vraiment pour la densité, sachant qu'il y a quelques semaines j'ai décidé d'augmenter l'interligne et la taille de la police parce que j'avais trop peur de ne pas avoir assez de choses à dire, mais vous voyez l'idée : ce rapport est acceptable.
J'ai passé l'été à me lamenter dessus comme une vache de mer, j'ai passé le mois d'aout en compagnie de l'angoisse de la page blanche, pourtant j'écris pas des histoires. Je vous avoue qu'il y a des passages écrits un peu plus rapidement que d'autres (plus rapidement que ceux écrits tranquillement au mois de mai-juin parce que oui je m'y prends à l'avance quand même, c'est terminer quelque chose qui est compliqué)

En deux exemplaires, tavu ?

Il y a autre chose qui me tracassait comme le nain, et qui me tracasse toujours d'ailleurs : je n'ai pas terminé le projet sur lequel j'ai travaillé depuis mars. C'est la vie, c'est pas si grave, après tout on m'a donné quelque chose à faire pour voir si ça fonctionne. Alors oui, ça va fonctionner, mais ça n'aura pas fonctionné à temps pour l'édition du rapport. Rassurons nous tout de suite : il me reste trois semaines de stage pour fait fonctionner ce prototype. Je pourrais raconter mes exploits récents (et pour l'instant inexistants) pendant ma soutenance fin septembre. 

Maintenant il faut donc que je réorganise mon temps. Je suis en train de perdre mon temps non plus par procrastination mais par ... ok un peu de procrastination quand même, mais surtout parce que j'ai pris l'habitude de faire mon rapport et le rapport il est fait. 

Voilà, vous savez à présent pourquoi il y avait moins d'articles cet été :)
(Merci à ceux qui ont aisé à la relecture !)

Commentaires